Ma question orale sur les bourses et les logements universitaires pour les bacheliers français de l’étranger qui choisissent d’étudier en France

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Après avoir écrit au CNOUS avec mes collègues Claudine Lepage, Sénatrice, et Pouria Amirshahi, alors Député, une lettre laissée sans réponse, sur les améliorations à apporter aux modalités de demande de bourses et de logements universitaires pour les futurs étudiants de nationalité française, venant de l’étranger, j’ai attiré l’attention du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères sur ce sujet par le biais d’une question écrite.  Constatant que le dossier n’avançait pas, j’ai posé une question orale à la ministre de l’Enseignement supérieur le 5 décembre dernier.

Vous pouvez visionner ici la question qui proposait aussi des améliorations à apporter au système actuel (dématérialisation des procédures, adaptation du formulaire de demande de bourse, révision du point de charge de distance…). Elle n’a hélas pas reçu de réponse satisfaisante. Seule une harmonisation entre les conditions d’attribution d’un logement en résidence universitaire pour les jeunes ultramarins et les Français de l’étranger a été envisagée par la Ministre, sans toutefois de délai d’application.
Tout ceci est en contradiction avec la volonté apparente de développer l’attractivité de notre enseignement supérieur. 

J’entends donc continuer à interpeller régulièrement l’administration sur le sujet afin qu’une concertation interministérielle soit mise en place. L’objectif n’est pas de privilégier les futurs étudiants français de l’étranger mais de faire en sorte que ceux-ci ne soient pas pénalisés du fait des délais postaux et du circuit de transmission de leur dossier social étudiant entre le Consulat et le Crous. 


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