J’ai interrogé le ministre de l’Europe et des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, sur les difficultés d’accès à l’enseignement français pour les élèves français et binationaux en Algérie.
Depuis plusieurs années, le lycée international Alexandre Dumas (LIAD) d’Alger subit un engorgement qu’il ne peut résorber. Dans certaines classes, il n’existe qu’une place pour une soixantaine de candidatures. Nombre d’élèves issus du système éducatif français, y compris d’établissements du réseau de l’AEFE, se voient refuser une inscription faute de place.
Dans l’attente d’une amélioration des relations bilatérales, l’assouplissement des conditions d’accès aux cours réglementés du Centre national d’enseignement à distance (CNED) permettrait de pallier l’absence de solution de repli pour ces familles. À ce jour, ces derniers restent réservés aux élèves y ayant été inscrits l’année précédente, une règle qui empêche nombre d’élèves de bénéficier d’une alternative éducative pourtant crédible et encadrée. J’ai donc demandé au ministre s’il envisage de lever cette condition préalable d’inscription au CNED pour alléger la pression qui pèse sur l’établissement et permettre aux élèves français et binationaux d’Algérie de poursuivre leur scolarité française.
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