Ma réaction à la libération de Boualem Sansal

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Emprisonné depuis novembre 2024, l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été gracié pour raisons humanitaires par le régime Algérien. Le président Tebboune a ainsi répondu favorablement à une demande de son homologue allemand le président, Frank-Walter Steinmeier.

La grâce de Boualem Sansal, un an après son incarcération, est un soulagement. Je lui adresse tous mes vœux de rétablissement à lui et j’exprime toute ma reconnaissance à celles et ceux qui se sont mobilisés pour obtenir sa libération. Tout doit être fait pour obtenir également la libération de Christophe Gleizes.

Cette libération est la preuve que quand des responsables politiques préfèrent le rapport de force à la diplomatie, il faut un pays tiers pour résoudre le différend. Il est vraiment déplorable que des individus se retrouvent victimes collatérales de la mésentente entre deux pays. C’est ce que j’ai rappelé à Public Sénat : “Passer par un pays tiers était la solution pour que personne ne perde la face […] on n’obtient pas des avancées en humiliant un pays ou en instrumentalisant ses relations bilatérales à des fins de politiques intérieures.”

Lire l’intégralité de ma réaction en cliquant ici.

 

 


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