L’Université d’été de la défense est un moment qui compte, dans l’année, pour tous ceux qui s’intéressent à nos atouts stratégiques : militaires, civils, industriels, journalistes, chercheurs. C’est aussi un rendez-vous de rentrée important pour les parlementaires qui siègent à la Commission des Affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat et à la Commission de la Défense nationale et des forces armées de l’Assemblée. J’ai donc retrouvé à Strasbourg mes collègues sénateurs et d’anciens auditeurs de la 62ème session de l’IHEDN, pour cette première Université depuis les attentats de Charlie Hebdo.

J’ai suivi, en vue de la Conférence Paris Climat de décembre, un atelier sur les conséquences géopolitiques du changement climatique dans les espaces maritimes. Les enjeux du dérèglement climatique dans l’océan arctique (exploitation des ressources naturelles, autoroutes maritimes, revendications territoriales) ont fait l’objet d’une étude approfondie.

La question de la lutte anti-terroriste en Afrique était également discutée en présence de hautes personnalités africaines. Occasion de rappeler que la fragilisation de certains pays pivots en Afrique concerne non seulement la France mais aussi l’ensemble de nos partenaires européens.

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