Je regrette le manque d’ambition et de courage de la part de l’État français concernant la libéralisation des visas pour les ressortissants du Kosovo. Dans la réponse apportée par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères à ma question, aucun élément rassurant ne présage d’une prise en compte des attentes légitimes d’une population traitée de manière inégalitaire par rapport aux autres États des Balkans occidentaux et au-delà.